Un jour, sur un salon, je croise Thierry Magnier, le vrai, avec l’écharpe et tout. On ne se connaissait pas, même s’il y avait son nom sur la couverture du Pire concert. On se.

Et là, voilà qu’il me dit « Pas mal, ton Concert. Maintenant, on attend un vrai roman ».

Tu imagines la tempête dans mon.

Quelques jours plus tard, je crois, je proposais à Soazig le Bail le projet du Bonheur est un déchet toxique. Soit un ado qui vient de perdre son père d’un cancer (et permet à l’auteur d’exprimer calmement sa douleur personnelle), une mère baba/végane/militante/casse-pied ressurgie du passé, un nouveau cadre de vie (les montagnes que j’aime) et un projet de décharge façon Sivens… On mélange, on travaille six mois – un an dessus, et

LE BONHEUR EST UN DECHET TOXIQUEavec sa couverture… verte.

Et des lecteurs qui me parlent de leurs émotions à la lecture.

Un vrai roman, j’espère.