Les intraterrestres
Bon, d’accord, quand j’ai écrit le livret-carte postale qui s’appelait Petit dernier, j’ai commis une grave erreur. J’avoue. Le truc moche : j’ai mis le nom de tous mes enfants/neveux/enfants de cousins… Sauf un. Celui de Titouan. Tu imagines l’impair ?
Quand les éditions Talents Hauts m’ont demandé un petit roman un peu marrant pour leur collection Zazou, je suis allé voir Titouan, et je lui ai dit :
– Pardon mon Titouan mon neveu chérinou que j’adore et que c’est la faute de l’éditeur ou de l’imprimeur si j’ai oublié ton nom, pas la mienne, patapé patapé, dis-moi, euh… tu veux que je t’écrive quoi ?
Et il m’a répondu :
– Une histoire avec des intraterrestres.
Alors, ben, forcément…
Et voilà qu’un an plus tard, parce que les zistoires qui ne sont pas finies ne sont pas de vraies zistoires, fort soudainement,
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